Je fonderai un nouveau groupe et tous les Erasmus épris de l'Etranger y adhèreront!!

Publié le par Clarinette de la pluie in Erlangen

 

 

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Je me suis souvent demandé comment je pourrais parvenir à me faire bouffer par un crocodile.

Je me demande comment va se comporter celui qui me tient entre ses dents: croquera, croquera pas?

Comment pourrait-il m'étouffer de ses bras? Comment pourrait-il me manger? Comment pourrait-il me digérer?

A moins que je ne me fasse moi-même reptile...?

Un parfum peut devenir le début de la fin. Qu'il vous donne envie de rester, qu'il vous procure cette sensation exactement là où on n'en voulait pas, et voilà. C'est fini. Il envahit votre air, puis votre vie. Et ensuite le crocodile vous bouffe.

Quand, c'est la question.

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H
Oui, désolée d'être un boulet, mais c'est plus clair comme ça...Et je vois tout à fait ce que tu veux dire...Courage!
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N
Ca me va pas de déserter ton blog moins d'une semaine car je suis completement larguée ...... au secours à l'aide je n'y comprends rien !!!!Et le pire c'est que ça risque de recommencer car mes parents arrivent cet après midi pour une semaine donc internet va etre mis en suspend pendant une semaine !!!Bisoussssss
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H
Au moins une chose de sûre, j'ai loupé un épisode ou le cours de décodage...
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C
Si j'avais dû écrire les choses clairement, ça aurait été peut être plus lisible, et ça aurait donné ça, à peu de mots près... Je ne sais pas si Kafka y est pour quelque chose, si ses théories odorantes m'ont tapées sur le système cérébral, mais il en va de soit. Je peux être amoureuse d'un parfum. Une odeur qui enveloppe un corps, qui court sur une peau et parvient à mes narines avant de toucher le pauvre siège des passions qui m'habite.Il s'avère que lui porte du Lacoste. Un parfum banal dans le sens où il est porté par tous, ou presque. Un parfum que je n'appréciais pas plus que ça au début. Et puis chez moi se produit toujours l'incident tragique, le coup de théâtre qui va nouer définitivement mon existence à celle de quelqu'un d'autre. Je me mets à aimer le parfum. Pas d'autre mot, pas d'autre explication. Le verbe est assez fort. Je ne peux véritablement pas me passer de cette odeur, de cette douceur qui m'effleure. Je suis dans ce creux naturel formé entre le bras et le torse, ce vide qui n'appelle que ma présence, je lève les yeux et je ne peux pas m'empêcher de penser que je regarde le plus bel homme que la terre n'ait jamais porté. Et que sa peau douce est parfumée comme aucune autre.Et là, je sais que je suis dans la merde. C'est plus clair(e)?